Elias Brackenhofer (1618-1682), raadsheer, reiziger, verzamelaar en numismaticus uit Straatsburg, ziet de olifant tijdens zijn reis door Frankrijk in Blois (1). In 1925 verscheen een Franse vertaling van Brackenhofers notitie door Henry Lehr naar het originele manuscript in het Musée Historique de Strasbourg. Of het manuscript nog altijd bestaat, is onduidelijk.
1) [Juni 1643] “J’ai aussi vu à Blois un éléphant; il était encore jeune (quatorze ou quinze ans), mais très haut, puisque je ne pouvais le mesurer avec mon bras levé. Il est de couleur cendré foncé, plutôt noirâtre. Il a un corps énorme et informe qui repose sur des jambes tout aussi énormes; ses jambes sont partout d’égale épaisseur; elles n’ont pas d’articulation au milieu, mais presque en bas, près des chevilles. Il a cinq orteils assez larges; les pattes sont larges et rondes. La tête est grande, mais les yeux petits comme ceux d’une vache; la boîte crânienne n’est pas lisse et plate, mais elle a deux bosses rondes près des oreilles.” Uit: E. Brackenhoffer, Voyage en France 1643-1644, (ed. H. Lehr), Parijs 1925, p. 186.